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 EDUCATION ET MONDIALISATION

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كاتب الموضوعرسالة
كمال صدقي
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كمال صدقي


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مُساهمةموضوع: EDUCATION ET MONDIALISATION   EDUCATION ET MONDIALISATION Clock10الإثنين نوفمبر 30, 2009 7:07 pm

EDUCATION ET MONDIALISATION : NOTES DE STAGE

Quelques échos du stage sur la Mondialisation qui s'est tenu au local du SNES le mardi 15 janvier, animé par Daniel RALLET, membre du C.A. d'ATTAC et Secrétaire national du SNES, dont les exposés ont alimenté le débat…et le présent compte-rendu.
On présente parfois la mondialisation comme un phénomène inéluctable, cohérent et même concerté contre lequel une résistance désespérée est appelée sur un mode incantatoire. Derrière la vitrine de Davos se déroulent, parfois dans l'opacité, des processus divers dont il faut distinguer les niveaux pour ce qui concerne l'éducation.
Au cœur de la mondialisation, les négociations entre Etats aujourd'hui menées dans le cadre de l'AGCS (Accord Général sur le Commerce et les Services) : elles fonctionnent sur le mode bilatéral ou multilatéral comme l'ouverure au marché de secteurs autrefois réglementés dans le cadre national; les Etats ont jusqu'à juin 2002, dans le cycle actuel, pour faire connaître leurs demandes. Cette négociation, comme tout marchandage entre Etats, a ses ratés, ses impasses ; elle n'avance qu'avec le consentement des pouvoirs politiques. C'est l'enseignement supérieur qui est le plus visé par ces négociations, nos collèges et nos lycées intéressant moins les puissances commerciales…
Mais la marchandisation de l'école ne se résume pas à la mondialisation et ce sont peut-être les pressions internes sur le système scolaire qui sont le plus à craindre. A l'échelle d'un pays, les entreprises privées sont tentées d'intervenir sur la formation des jeunes, mais aussi sur les diplômes, encore garantis par l'Etat pour la plupart : c'est la thématique du " portefeuille de compétences " relayée par certains dans le champ de l'Education, qui substitue à la logique collective de reconnaissance des qualifications celle d'une individualisation des parcours. L'Education elle-même est un marché, d'ailleurs organisé depuis des années (édition scolaire et parascolaire) : certains groupes comme Vivendi y ont déjà des intérêts et envisagent d'y investir encore. Les paris faits sur l'"e-education " sont un volet, d'ailleurs fort problématique, de cette montée en puissance, dont la rentabilité même est très discutable hors de certains secteurs, et pourrait suivre le sort des rêves des trade
rs du monde entier qui ont éclaté en même temps que la bulle spéculative de la " nouvelle industrie " informatique.
Marchandisation n'est d'ailleurs pas nécessairement privatisation : les décisions récentes du gouvernement français de faire du CNED un acteur de premier plan sur un marché concurrentiel, celui de la formation à distance, illustrent les dérives possibles d'un service public qu'on tente d'adapter à une logique marchande. Il faut ici mentionner les nouvelles méthodes de gestion des personnels bien souvent calquées sur celles du secteur privé: le Ministère et les Rectorats se dotent de directions des ressources humaines et d'instruments de pilotage et d'évaluation dans une logique parfois peu compatible avec celle du service public.
La marchandisation entre enfin dans les établissements, avec parfois l'assentiment des pouvoirs publics, autour de la cible privilégiée que constituent les jeunes qu'il faut capter et fidéliser le plus précocement possible. Dernier exemple en date : le grand jeu-concours organisé par TF1 dans tous les collèges avec l'accord du Ministère - que le SNES a d'ailleurs dénoncé avec succès.
Mondialisation et marchandisation sont donc des phénomènes à dimensions multiples qui ne progressent qu'avec le consentement d'une partie des intéressés : c'est un processus complexe et parfois incohérent, auquel il est fort possible de résister (une politique de mondialisation, disait Bourdieu). Des points ont été marqués contre l'OMC dans les dernières années : l'AMI (accord multilatéral sur l'investissement) a été mis en échec ; à Seattle et ailleurs, les répliques des adversaires de l'ultra-libéralisme se font entendre et pèsent sur les négociations.
Quelle intervention du syndicat ?
Le SNES et la FSU n'ont pas la capacité à eux seuls de penser une alternative: c'est le sens de leur engagement dans des collectifs comme le Collectif citoyen contre l'OMC , ou Attac dont ils membres fondateurs. Cette participation très enrichissante est aussi un défi vu le bouillonnement permanent que constitue Attac, qui a ses rythmes, ses procédures, son propre calendrier.
On peut distinguer plusieurs niveaux d'intervention :
· informer les personnels ou l'opinion sur des processus opaques, sans contrôle démocratique;
· assurer une veille face à des projets toujours susceptibles de renaître…
· s'efforcer de constituer une capacité d'expertise sur des problèmes difficiles qui laissent parfois démunie la représentation nationale elle-même, par exemple;
· contribuer aux mobilisations sans lesquelles il serait vain d'espérer se faire entendre !

Dossier : l'université formatée par le marché
L'éducation comme droit,
le financement public contre les marchés
Par Jean-Luc Mélenchon
Ce texte est paru dans "Politique, revue de débats", n°24, avril 2002.
Il ne faut jamais perdre de vue qu'il est très difficile de comparer les systèmes éducatifs de différents pays. En France, les luttes démocratiques, le mouvement social, ont permis la construction d'un système extrêmement puissant. Nous scolarisons 90% des jeunes entre 3 et 5 ans, et la totalité de la jeunesse française jusqu'à 16 ans. Je suis donc parfaitement conscient que les problèmes que nous rencontrons chez nous ne sont pas de la même nature que dans les pays où la question même de la scolarisation des jeunes est encore posée.
Néanmoins, nous voyons qu'il y a des problématiques communes qui se présentent du fait de la mondialisation libérale, aussi bien dans les pays avancés comme le mien, que les autres. Nous voyons à l'oeuvre, à l'échelle du monde, une offensive qui vise à transformer le savoir en marchandise. En effet, les financiers se sont aperçus que le savoir représentait en dépense annuelle supérieure à 1.500 milliards de dollars.
Cette marchandisation se présente sous deux formes.
Une forme ordinaire : le développement des marques... Les marques des grandes firmes entrent dans les écoles avec le matériel pédagogique. Il s'agit de conditionner le jeune, car dans les pays avancés, les jeunes représentent un pouvoir d'achat considérable. Mais cette forme n'est pas la plus forte.
L'autre forme de marchandisation est plus grave. C'est lorsque se présentent, à côté des systèmes publics d'éducation, des firmes privés d'enseignement dont le but est de réaliser des bénéfices sur la vente de savoirs.
Quand cette offensive se heurte à des systèmes publics puissants, elle essaie de pousser sur plusieurs fronts. Le premier consiste à expliquer que tous les systèmes d'enseignement sont équivalents, que les propositions d'éducation doivent se confronter sur le marché et à partir de là, que tous les titres et les diplômes, qui sont la seule richesse du jeune, sont mis à égalité. Les marchands disent "c'est le marché qui décide de la valeur de chaque titre".
Il faut bien comprendre que, dans cette affaire, nous retrouvons les grandes problématiques de la mondialisation libérale : ou bien se développe un système d'éducation et d'apprentissage où chacun est responsable de sa propre formation et se la paye. C'est le système par capitalisation. Ou bien, l'ensemble de la population prend en charge l'éducation de chaque génération, et c'est le système par répartition. Dans le système par capitalisation, le financement de la scolarité et de la formation est individuel et se fait par l'emprunt et l'endettement du jeune lui même ou de sa famille. Dans le système par répartition, le financement se fait par l'impôt, c'est çà dire que tout le monde contribue à proportion de ses moyens.
A ce point, une deuxième alternative se présente. Pour ceux qui veulent marchandiser l'éducation, il faut abattre le système des certifications et des diplômes. Il ne faut plus que la puissance publique soit la garantie, et en même temps, il faut que les savoirs enseignés soient étroits, ne serait-ce que pour nous obliger à en racheter sans cesse. Par exemple, pour les ouvriers de l'automobile, les diplômes donnés par les firmes privées ont une valeur pour 5 ans. Une automobile est présente sur le marché pendant 7 ans. Cela signifie que chaque fois que le modèle de voiture, ou la génération de moteur, change, le travailleur est ramené à la case départ, c'est comme s'il ne savait rien. Il s'agit d'un système de formation où l'on vend des compétences, où ce sont les industriels qui constatent des compétences.
Le système public, lui, donne des qualification plus larges et durables. Pour la société, c'est une économie, car il ne faut pas sans cesse reprendre à zéro la qualification du travailleur, qui dispose d'une base de haute qualification.
Ainsi, on voit qu'à partir de la question du financement du système éducatif peuvent se poser trois alternatives fondamentales :
·    répartition contre capitalisation ;
·    qualification contre compétence ;
·    certification universelle garantie par l'Etat ou certification d'entreprise;
A partir de cela, comment faire pour défendre le service public d'éducation et de formation, et avec qui pouvons nous le défendre ? Je voudrais vous montrer que le point de vue anti-libéral que nous partageons ici, à Porto Alegre, dispose d'une base sociale extrêmement large.
Nous, les Français, c'est une situation que nous connaissons historiquement, de longue date. Il y a une contradiction chez les classes possédantes: d'un coté, la marchandisation des savoirs est l'occasion de réaliser des bénéfices et d'accumuler du capital. C'est donc une bonne affaire ! Mais d'un autre côte, le capital productif a besoin d'une main d'oeuvre nombreuse et hautement qualifiée.
Oui, il y a une convergence d'intérêt sur la question des qualifications entre les secteurs du capital productif et la masse des ouvriers. C'est sur cette base en France que s'est développé le service public d'éducation. Dans une alliance qui comporte quatre secteurs : le syndicalisme ouvrier, et notamment le syndicalisme ouvrier révolutionnaire, qui voulait élever le niveau de connaissances des masses ; le bloc politique que nous appelons chez nous les républicains, qui savent qu'avec l'élévation des qualification on élève le niveau intellectuel et on fait avancer les forces du progrès ; la bourgeoisie des secteurs productifs techniquement avancés qui ont besoin d'une main d'oeuvre de haut niveau de qualification et qui ont besoin d'un système de qualification de masse ; enfin, les personnels de l'éducation, qui sont porteurs d'un idéal éducatif.
Pour que cette convergence fonctionne, il faut des objectifs politiques clairs. Il faut que tout le monde comprenne le rôle central des qualification dans le développement d'un pays, et pour les progressistes, il faut faire la clarification de la place particulière de l'enseignement professionnel. Et à ce sujet, j'aimerais vous dire que dans mon pays comme dans tous ceux que j'ai l'occasion de visiter, je constate une certaine confusion.
Même à gauche, il y a des gens qui propagent le mépris pour l'enseignement professionnel. C'est une vision petite bourgeoise des savoirs ! Une vision académique, qui renvoie à une époque où dans l'industrie, il y avait quelques ingénieurs et une grande masse d'ouvriers sans qualification. Ceux là n'ont pas compris que les métiers de notre époque sont des sciences pratiques, que chaque métier intègre des savoirs fondamentaux de haut niveau. Il faut en finir avec cette vision académique. Dans mon pays où nous avons réussi la massification de l'enseignement, la prochaine étape est de garantir le droit pour chaque jeunes d'avoir une qualification professionnelle reconnue sur le marché du travail à sa sortie du système scolaire, et de l'élever tout au long de sa vie. C'est une revendication démocratique et progressiste, et certainement pas un rétrécissement des finalités de l'école. Ne pas comprendre cela, c'est faire le jeu de l'adversaire, car si l'on reste crispé sur la vision d'une éducation qui n'offre aucun débouché professionnel, alors ce seront les marchands qui s'en chargeront.
La question du financement, de la forme de l'éducation, de son contenu et de la bataille sociale sont bien une seule et même question."
Qu’est-ce que le FSM?         
26/8/2002
Qu’est-ce que le Forum Social Mondial?
Le Forum social mondial est un espace de rencontre ouvert destiné à approfondir la réflexion, le débat démocratique d’idées, la formulation de propositions, l’échange d’expériences et l’articulation d’actions efficaces, entre les associations et mouvements de la société civile qui s’opposent au néo-libéralisme et à la domination du monde par le capital et par toute forme d’impérialisme et qui se sont engagés dans la construction d’une société planétaire centrée sur l’être humain (voir Charte des Principes du FSM). Le F.S.M. se propose de débattre des alternatives de construction d’une mondialisation planétaire assise sur les respect des droits de l’homme universels et de ceux de tous les citoyens et citoyennes de toutes les nations, ainsi que de l’environnement, une mondialisation appuyée sur des systèmes et des institutions internationaux démocratiques placés au service de la justice sociale, de l’égalité et de la souveraineté des peuples.
Les deux premières éditions du F.S.M. ont eu lieu à Porto Alegre (Brésil) aux mêmes dates que le Forum économique mondial de Davos (cliquez ici et lisez le texte sur les origines du F.S.M.). Par son désir de renforcer une coalition mondiale des mouvements et organisations les plus divers de la société civile, dans le respect des différences, de l’autonomie des idées et des modes de lutte, le F.S.M., à l’origine le seul espace de convergence de la lutte contre la mondialisation néo-libérale, recherche désormais la mondialisation. Et pour atteindre ces objectifs, la rencontre annuelle du Forum social mondial à Porto Alegre est accompagnée dorénavant de Forums Sociaux Régionaux et Thématiques. Ces manifestions ont pour but d’approfondir le débat sur des questions spécifiques, tenues pour prioritaires dans la conjoncture mondiale par le Conseil international du F.S.M. – son instance décisionnelle politique. Tous les forums doivent respecter la Charte du F.S.M.
Porto Alegre accueillera à nouveau la prochaine rencontre du F.S.M., entre les 23 et 28 janvier 2003     
   8/6/2002
Note du Comité Organisateur sur les principes qui orientent le FSM
Le grand impact politique du Forum social mondial (F.S.M.) de 2002 a entraîné un large débat autour de son évaluation, débat que nous reproduisons sur notre site. Nous avons cependant jugé utile de rappeler que lorganisation du F.S.M. repose sur la Charte approuvée par le Conseil international le 10 juillet 2001.
Parmi les points de la Charte, nous aimerions rappeler:
a) Le F.S.M. est un " espace de rencontre ouvert " (point 1), " pluriel et diversifié, non confessionnel, non gouvernemental et non partisan " (point Cool.
b) En termes politiques, le F.S.M. se démarque comme le " lieu de rencontre dassociations et de mouvements de la société civile opposés au néo-libéralisme et à la soumission du monde au capital et à toute forme dimpérialisme " (point 1). Ses propositions " sélèvent contre un processus de mondialisation aux ordres des grandes sociétés transnationales, des gouvernements et des organismes multilatéraux mis au service de leurs intérêts, et comptant sur la complicité des gouvernements nationaux " (point 4).
c) Le caractère non délibératif, en tant que F.S.M., lors des rassemblements du F.S.M. Cette façon de faire, bien souvent mal comprise, demande un éclaircissement : le F.S.M. " nest pas une instance de pouvoir, qui serait disputé par les participants de ses rencontres " et personne nest " autorisé à exprimer, au nom du Forum… des positions censées être de toutes et de tous les participants. Ceux-ci ne sauraient être appelés à prendre des décisions, par vote ou acclamation, à titre collectif " (point 6). Ceci étant, " les associations ou ensembles dassociations participant aux réunions du Forum jouissent pleinement de la liberté de délibérer … sur toute action et déclaration quils décideraient de mettre en œuvre ", droit amplement divulgué par le Forum (point 7).
d) " Le F.S.M. est et sera toujours un espace ouvert au pluralisme et à la diversité des engagements et des actions " (point 9), source de richesse et de force du mouvement pour un autre monde. Le Forum ne niera pas ses contradictions et sera toujours marqué par le conflit dopinions entre les associations et les mouvements qui respecteront les principes énoncés dans sa Charte.
e) Le F.S.M. est ouvert et refuse de recevoir sur invitation. Il offre les conditions qui permettent à toutes celles et à tous ceux souhaitant impulser leurs activités, quelle quen soit la forme (ateliers, séminaires, rencontres, forums, etc.) de le faire en toute liberté. Les seules activités mises en œuvre pour le F.S.M. 2002 sous la responsabilité collective du Comité dorganisation et du Conseil international ont été 27 conférences (dont les participants ont été choisis de concert avec les animateurs) et les témoignages de 15 personnalités. Aucune association ou organisation satisfaisant aux critères fixés dans les principes du F.S.M. na vu et ne verra nier sa participation aux manifestations.
f) Le Forum mondial de parlementaires et le Forum des élus locaux maintiennent un dialogue avec le F.S.M. et ses participants, mais leur organisation est due à des initiatives autonomes prises, le premier, par une commission de parlementaires, et le second, par la mairie de Porto Alegre - sur les mêmes bases et au même titre que les autres séminaires -, et non par le Comité dorganisation et par le Conseil international. Le F.S.M. " ne regroupe et narticule que des associations et des mouvements de la société civile de tous les pays du monde " (point 5) et " aucune représentation partisane ou organisation militaire ne sera admise à participer au Forum " (point 9). Ce qui ne veut pas dire, toutefois, que " ne pourra être invité à participer, à titre personnel, tout gouvernant et parlementaire souscrivant aux engagements stipulés dans la Charte " (point 9). Cette année, cependant, le Comité dorganisation na invité aucun gouvernant ou parlementaire à participer au Forum social mondial.
Sao Paulo, le 7 mars 2002
Comité dorganisation brésilien     
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